....bienvenue chez moi


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Bienvenue dans mon nouvel espace
"le crayon et la plume"
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vendredi 31 août 2012

*Les papillons ne sont que des fleurs....


"Les papillons ne sont que des fleurs envolées un jour de fête
où la nature était en veine d'invention et de fécondité".

George Sand
Extrait des Contes d'une Grand-mère

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jeudi 30 août 2012

*Les Trois Lumières...


"Ici  le ciel est bleu, dégagé".....

(...)


(...)

"Là le ciel bleu est garni de nuages crayeux, mais le plus souvent
c'est un mélange enivrant de ciel et d'arbres strié de câbles électriques en travers desquels,
de temps en temps, de petites volées brunâtres d'oiseaux fugaces se précipitent"...."



"Je me demande comment elle sera, cette maison qui appartient aux Kinsella"...


"Je me demande s'ils habitent dans une vieille ferme ou un pavillon neuf"....

"une éternité, ai-je l'impression, passe avant que la voiture ralentisse et tourne
 dans un étroit chemin goudronné, puis un frisson lorsque les roues claquent
sur les barres métalliques d'une grille pour le bétail.
De chaque côté, des haies épaisses sont taillées à angle droit".


"Au bout du chemin se trouve  une longue maison blanche
avec des arbres dont les branches traînent sur le sol.
"Papa, dis-je. Les arbres.
-Eh ben quoi ?
-Ils sont malades, je dis. 
C'est des saules pleureurs", dit-il,
et il se racle la gorge".






Claire Keegan
Les Trois Lumières

récit traduit de l'anglais (Irlande)
par Jacqueline Odin

(Sabine Wespieser - Editeur)


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mercredi 29 août 2012

*A chercher à travers le temps vaste du soir....


(...)

"Chercherons-nous un autre tigre, le troisième ?
Mais il sera toujours une forme du rêve,
Un système de mots humains, non pas le tigre
Vertébré qui, plus vieux que les mythologies,
Foule la terre. Je le sais - mais quelque chose
Me commande cette aventure indéfinie,
Ancienne, insensée ; et je m'obstine encore
A chercher à travers le temps vaste du soir
L'autre tigre, celui qui n'est pas dans les vers".


Jorge Luis Borges,
L'Autre Tigre, 1960,
(Trad. Ibarra, Gallimard, 1970)


...

Avant le Prologue
Michael Cunningham
Les Heures
domaine étranger


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*Pour exposer mes projets.


"Le temps me manque pour exposer mes projets.
J'aurais pourtant beaucoup à dire au sujet des Heures
et de ma découverte : comment je creuse de belles grottes
derrière mes personnages.
Je crois que cela donne exactement ce qu'il me faut :
humanité, humour, profondeur.
Mon idée est de faire communiquer ces grottes entre elles,
et que chacune s'offre au grand jour, le moment venu".

Virginia Woolf,
Le Journal d'un écrivain, jeudi 30 août 1923,
(Trad. C.-M, Huet, Stock,
Nouveau Cabinet Cosmopolite)

Texte rédigé avant le Prologue in

Michael Cunningham
Les Heures
domaine étranger


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mardi 28 août 2012

*Frapper à toutes les portes


"Le voyageur doit frapper à toutes les portes
avant de parvenir à la sienne".

Tagore


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lundi 27 août 2012

*La joie est en tout....



"La joie est en tout,
il faut savoir l'extraire"

Confucius




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dimanche 26 août 2012

*Elle s'est faufilée dans les pages comme un songe..


"Elle s'est glissée dans le livre. Elle s'est faufilée dans les pages comme un songe s'en vient visiter un dormeur, se déploie dans son sommeil, y trame des images et mêle à son sang, à son souffle, de fins échos de voix.
Elle va partout, n'importe où, elle s'introduit où elle veut, elle traverse les murs aussi aisément que les troncs d'arbres ou que les piles des ponts.
Aucune matière n'est pour elle un obstacle ; ni la pierre, ni le fer, ni le bois ou l'acier n'arrêtent son élan, ne retiennent ses pas. Toute matière a pour elle la fluidité de l'eau"

Sylvie Germain

La Pleurante des rues de Prague
L'un et l'Autre
Gallimard
(p. 13)


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*Griffonner sur des bouts de papier...


Pour ne pas oublier
les années qui passent,
ces journées mal habillées
mal tracées, sans trace...

Si... 

en quelques heures n'avais qu'à rêver,
les choses de l'esprit à me représenter,
à griffonner en hâte,  sur des bouts de papier,
confusément gribouiller ,
barbouiller, peinturlurer,
comme un chat écrivailler,
deux  livres à feuilleter,
trois images à photographier,
bavarder, rédiger, composer,
crayonner, créer, exprimer,
calligraphier, essayer..
noter.

Si...

Je le dirai, avec des mots esquissés, entremêlés
  me faufilerai et  glisserai,
 cheminerai,
 et ma place trouverai sur la page étoilée, 
parée  en quelques respirations
de beauté et de sérénité.

Den


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samedi 25 août 2012

*Elle a voulu dire des choses....



Elle a voulu dire des choses,
partir à la découverte du labyrinthe des mots.
Parler. Conter, se raconter, accrochée à la page,
parler de son pays, de sa région.
Elle a hésité longtemps. Quelquefois, perdue, là.
Blanche est la page...
Elle a transpiré aussi, parfois, souvent.
Elle a hésité.
Puis elle a sauté à pieds joints dans votre espace,
s'est offert des images, des mots, des histoires,
Et elle revient sur la page,
curieuse, émerveillée souvent.
Enchantée par votre belle ouvrage
au détours de vos  pages....

Den


















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chut ! la fleur a parlé...




A l'ombre des autres,
je m'isole du trop chaud !

chut ! la fleur a parlé...

*J'ai cherché l'élégante ancolie..


Au printemps dernier,

J'ai cherché l'élégante ancolie,
pour soigner mes plaies vivaces,
à l'ombre de mes pas,
d'un soleil trop puissant,
qui ne l'épuise pas.

Mais je ne l'ai point croisée,
la sauvageonne des Alpes,
ni sa fleur au sommet de sa longe tige
quasi invisible..
ni  ses pétales tronqués, ses éperons légèrement arqués
comme des serres d'aigle..
...

J'ai cherché aussi  l'ancolie aux pétales formant calice,
sans éperon,
en forme de pompons..

...
N'ai pas trouvé l'ancolie..

...

Peut-être la planterai-je dès l'automne débutant,
en semis, en massif ou en rocaille ombragée,
simple, double,  bicolore,
blanche, rose, lie-de-vin, ou plutôt bleu, violette,
de la couleur de l'âme,
loin des savoureuses limaces,  près d'autres compagnes elles aussi vivaces..
Peut-être bien sur mon balcon protégé,
ou au bord de ma fenêtre,
ou dans l'allée gravillonnée, entre deux pierres, dans mon jardin de curé...
et je la cueillerai dès la saison prochaine,
épanouie à moitié,
elle la merveilleuse délicate,
pour habiller ma table chaleureusement.

Après qu'elle aie trouvé sa place,
là où elle aime..
comme elle aime,

 d'un  amour triste..

Den

vendredi 24 août 2012

*Je grimperai et je découvrirai...

Je grimperai.
Je découvrirai la lumière au sommet, là-haut, jusqu'à plus soif de beauté.
Tôt au petit matin, je partirai.
Quand le village sera encore entouré de sommeil dans la brume ouatée d'un  improbable brouillard à couper au couteau.
Je grimperai légère et fraîche.
Je me sentirai arapède, accrochée à son rocher - scotchée à la vitre de l'horizon- ébahie comme le paysage, enveloppée par la magie ambiante, pittoresque ;
captivant le lieu...
Le spectacle abritera ses splendeurs.

Bain de jouvence  à venir.

J'avancerai vers le sommet encore plus abrupt, plus raide, et contemplerai les descentes de lit du ciel accrochées à l'a-pic.
Reviendrai et prendrai le temps encore plus, de  regarder et de  voir.

Je changerai mes habitudes demain...

Je remonterai la vallée.

Où étais-je hier ?
Tout se mêle.
Bien loin je crois.
Mais je me suis rejointe.
J'ai revêtu des habits neufs pour une nouvelle vie, des espoirs ...
Simples et modestes, comme un bon jour.
A ras bord de projets.

Il traîne une atmosphère positive alentours.

Den


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jeudi 23 août 2012

*La porte : elle a raconté.......


lieu de passage entre ici et là-bas,


 ailleurs, dans le Luberon,


de porte en porte,
le connu et l'ignoré : fermée.

le mystérieux :ouverte, entrebaillée.



de portes en portes.

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Trouveras ton chemin....

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*Par les mots magiques du conteur...


"Une porte s'ouvre,  par les mots magiques du conteur et nous entrons comme chez nous dans la maison de la crainte, du désir et de l'espérance. Telle est bien notre maison natale à nous tous. Et parce que le miraculeux fut réellement  notre premier objet, nous lui gardons une  préférence   de sentiment que la froide raison ne peut effacer".

Alain
Esquisses de l'homme (1927), 4ème édition, 1938, Notre merveilleuse enfance, (1er décembre 1933)


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*Qu'y-a-t-il derrière le silence ?

Qu'imaginer derrière le porche, le silence.
Qu'y-a-t-il ?
L'ignorance véhicule l'interrogation, le mystère.
Au coeur même de l'ombre éparse, des morceaux de vie perdue, disséminée en ce lieu.
Interruption miraculeuse dans ma course.
Pas hésitant devant la porte, l'allée, le chemin.
Beauté.
Oeuvre d'Art splendide, belle ouvrage, au fil de l'histoire enchantée de la mémoire collective sur les ailes d'hier.
La vie a du y être légère et douce jadis.
Un refuge peut-être... et tenter de découvrir des souvenirs croisés en ouvrant la porte....

Den





                                                     ***






mercredi 22 août 2012

*La beauté des choses

"Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses ?"

Christian Bobin
(le huitième jour de la semaine, p. 58  Editions Lettres Vives, 1986)


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*La musique, ce qu'elle est :

"La musique,  ce qu'elle est : respiration.  Marée.
Longue caresse d'une main de sable".

Christian Bobin
 Souveraineté du vide. Coll. folio, 2680, p. 25


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mardi 21 août 2012

*On a le coeur qui bat, quand on revient après une longue absence


"On a le coeur qui bat, quand on revient  après une longue absence.
 C'est comme après la guerre.
On avance dans les rues en flairant un peu, cherchant les traces.
On guette les bruits familiers, on remonte des filières"

    Jean-Marie Le Clézio
Révolutions 


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*Elle est entrée dans le livre...


"Elle est entrée dans le livre. Elle est entrée dans les pages du livre comme un vagabond pénètre dans une maison vide, dans un jardin à l'abandon.  Elle est entrée, soudain. Mais cela faisait des années  déjà qu'elle rôdait autour du livre. Elle frôlait le livre qui  cependant n'existait pas encore, elle en feuilletait les pages  non écrites et certains jours, même,  elle a fait bruire imperceptiblement ces pages blanches en attente  de mots. Le goût de l'encre se levait sur ses pas".

Sylvie Germain
La  Pleurante des rues de Prague
l'un et l'autre
Gallimard
(p. 13)


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lundi 20 août 2012

*La porte la mieux fermée..


"La porte la mieux fermée 
est celle qu'on peut laisser ouverte"

Proverbe chinois


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*Fontaines.... et lavoirs....



Dans le Parc Naturel  Régional du Luberon !
hier, en balade, après le concert....  !


C'est autour des lavoirs et des fontaines  disséminés ici et là,  que les femmes aimaient se retrouver et causer... !
Coutume perpétuée jusqu'en 1952, date de l'installation de l'eau.

Au coeur du sud Luberon, le  splendide village médiéval,  de Cucuron,   a su conserver son authenticité et son riche passé historique.

En flânant et déambulant dans ses rues ombragées et étroites, mais ô combien attrayantes, l'on se replonge aisément dans un hier encore bien présent ;  pas aussi lointain qu'on pourrait le croire !

C'est la canicule en Provence depuis quelques jours, et nous  profitons avec plaisir des clapotements légers et rafraîchissants de l'eau sur les margelles, et quiconque  peut lire sur le haut de la fontaine, en s'étonnant  : "défense de salir l'eau"..

Qui oserait ?

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dimanche 19 août 2012

*Musique vocale...baroque.. sacrée..



L'ensemble vocal Cori Spezzati, composé de 24 chanteurs,  a inondé ce jour 
Notre Dame de Beaulieu à Cucuron
dans le Vaucluse pour des vêpres musicales.
Fondé en 1987 par Olivier Opdebeeck, Chef de choeur et d'orchestre, 
son nom signifie "choeurs divisés", et fait allusion à la pratique du double choeur vénitien.
L'ensemble se réfère aux partitions inédites de la Cité des Doges, et s'évade en abordant d'autres répertoires.
Cet après-midi magnifié , l'a été avec Claudio Monteverdi, 
"Missa a Quattro Voci da cappella" (1650)
mais pas seulement... 
Mérulo
Plain-chant
Monteverdi



"Nous alternerons donc les polyphonies montéverdiennes avec le propre en plain-chant de la messe des Fêtes de la Sainte Vierge, et des versets pour orgue de Claudio Merulo. Cet organiste vénitien a longtemps été maître de chapelle de Saint Marc. La qualité de son jeu est attestée par le fait qu'il a été préféré à Andrea Gabrieli en 1566, lors du concours qui devait désigner le premier organiste de la basilique. Le magnificat secondo publié dans le recueil des Selva Morale de 1640 conclura le programme".
Olivier Opdebeeck

Ce concert Monteverdi enregistré ce jour, le sera aussi les 20 et 21 août en l'église de Cucuron, et constituera le programme du prochain disque de l'Ensemble Vocal Cori Spezzati  qui sortira à l'automne prochain.




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*Ecrire... tellement solitaire....


"Je ne suis le porte-drapeau de personne -
Ecrire est une entreprise tellement solitaire..."


Françoise Sagan
(Interview) Citations de Françoise Sagan


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samedi 18 août 2012

*Scorpion


Les sculptures monumentales de Nicolas Lavarenne  investissent les rues, les places d'Aix-en-Provence et cela  jusqu'au 22 septembre 2012.
L'abbaye de Silvacane à la Roque d'Anthéron accueille aussi une partie de ses bronzes.
Réalistes, touchantes, d'un élan vital peu commun, fascinantes, ces sculptures ne peuvent pas nous laisser insensibles..
Les yeux au ciel.
Pleins de poésie.

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*L'oiseau était comme un gigantesque miroir...

Ajouter une légende


"Un être composé d'autres êtres (...)...
Farid ud-Din Attar conçut l'étrange Simorgh,  qui signifie Trente Oiseaux, et qui surpasse l'Aigle de Dante. (...)
L'intrigue de Mantiq-al Tayr (La Conférence des Oiseaux) est la suivante :
Le lointain roi de tous les oiseaux, le Simorgh, fait tomber l'une de ses magnifiques plumes   au centre de la
Chine : les oiseaux décident de partir à sa recherche.
Ils savent que le nom de leur roi signifie Trente Oiseaux ; ils savent que son palais est situé dans Kaf, la montagne circulaire qui entoure la Terre. Ils s'embarquent dans l'aventure presque sans fin.
Ils passent à travers sept vallées ou mer ; le nom de l'avant-dernière est Vertige, le nom de la dernière, Annihilation. 
De nombreux pélerins abandonnent, d'autres  périssent. Trente purifiés par leurs efforts  atteignent la montagne du Simorgh.
Enfin, ils le voient : ils perçoivent qu'ils sont le Simorgh, et que le Simorgh  est chacun d'entre eux, et eux tous.
Dans le Simorgh sont les Trente Oiseaux et dans chaque oiseau est le Simorgh.

Silvana Ocampo a mis cet épisode en vers.

"L'oiseau était comme un gigantesque miroir
les contenant tous, et non un simple reflet  
Dans ses plumes, chacun trouvait ses propres plumes...
dans ses yeux, ses propres yeux, avec le souvenir des plumes"  


La différence entre l'Aigle de Dante et le Simorgh d'Attar est aussi évidente que leur ressemblance.
Les personnages qui constituent l'Aigle ne se perdent pas en lui. Mais les oiseaux qui contemplent le Simorgh    
sont en même temps le Simorgh. (...)
Une observation finale.  (...) Les pélerins avancent à la recherche d'un but infini  ; ce but qui ne leur sera révélé qu'à la fin, ne doit pas apparaître  simplement comme un renseignement supplémentaire, mais  doit
faire naître l'émerveillement. 
(En révélant que) les chercheurs sont ce qu'ils cherchent.

Jorge Luis Borges. Le Simorgh et l'Aigle. In Neuf essais sur Dante. 



(Réf. : Sur les épaules de Darwin - France Inter - par Jean-Claude Ameisen)
émission du 18 août 2012
rédiffusion du 31 mars 2012

Le langage des oiseaux - partie 2
Les battements du temps (27)



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vendredi 17 août 2012

*Dans l'air scintille encore cette larme...



"Dans l'air de plus en plus clair
scintille encore cette larme
ou faible flamme dans du verre
quand du sommeil des montagnes
monte une vapeur dorée

Demeure ainsi suspendue
sur la balance de l'aube
entre la braise promise
et cette perle perdue".



Philippe Jaccottet
Airs (1967)
éd. Gallimard


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jeudi 16 août 2012

*..Avant tout pour rassembler les fragments



"je pense quelquefois que si j'écris encore, c'est, ou ce devrait être 
avant tout pour rassembler  les fragments, plus ou moins lumineux  et  probants,
d'une joie dont on serait tenté de croire qu'elle a explosé un jour, il y a longtemps,
comme une étoile intérieure et répandu sa poussière en nous.
Qu'un peu de cette poussière s'allume dans un regard, c'est sans doute ce qui nous trouble,
nous enchante, ou nous égare le plus ; mais c'est, tout bien réfléchi, moins étrange que de surprendre  
son éclat, ou le reflet de cet éclat fragmenté, dans la nature.
Du moins, ces reflets auront-ils été pour moi l'origine de biens  des rêveries,
pas toujours  absolument infertiles"

Philippe Jaccottet
Cahier de verdure 

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*Ecrire, c'est inventer...



"Ecrire, c'est inventer ce qu'on sait déjà"

Françoise Sagan
Citations Françoise Sagan

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*mon passe-temps favori...


"mon passe-temps favori, c'est laisser passer le temps,
avoir le temps,
prendre mon temps,
perdre mon temps,
vivre à contretemps"

citations de Françoise Sagan

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mercredi 15 août 2012

*En levant les yeux..


En levant les yeux,
devant la scène.... 

    1982 - création d'une conque acoustique
    1990 - surélévation de la conque par des instruments à vent
    2007 - réalisation  d'une nouvelle conque acoustique (28 m de large x 14 m de haut)


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*Le Festival de musique de la Roque d'Anthéron


"La musique est la langue des émotions"

Emmanuel Kant



Le Parc du Château Florans, depuis 31 ans, est le haut lieu incontournable des rencontres
musicales classiques et contemporaines de tous les artistes,  interprètes internationaux ou des talents prometteurs de demain.. 
La qualité acoustique de la scène idéale se rajoute au charme certain de ce jardin mythique,
magique où se côtoient plus de trois cent platanes et séquoias centenaires.... 


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